新大学法语1 第七课
Unite 7
Texte A Un élève à la campagne
Emmanuel est élève à la campagne. Il habite dans un petit village. Ce village est loin de la ville, mais très beau et très calme.
Pour aller à l’école, il lui faut une heure. Tous les matins, il se lève de bonne heure. A ce moment-là, il a encore envie de dormir, mais il dit tous les soirs à sa mère de le réveiller le lendemain, à six heures juste, parce qu’il doit travailler. Il se lève vite. Sa mère elle-même, se lève encore plus tôt, à quatre heures, hiver comme été.
A cette heure-là, il fait encore nuit. Sa grand-mère, quatre-vingts an, ne se lève pas, elle dort encore. Il se met au travail sérieusement. Il sait bien ses leçons.
L’heure marche vite, à six heures et demie, sa grand-mère se lève et fait chauffer le café. Elle s’occupe toujours du petit déjeuner.
A sept heures, il se lave les mains, il se brosse les dents, il s’habille tous les matins à la même heure et à la même vitesse. Il déjeune d’un bon morceau de pain et une bonne tasse de café au lait. Il mange aussi du beurre. Tout est vite fait, en quelques minutes seulement.
Après le petit-déjeuner, il met les livres, les cahiers, les crayons, les stylos dans son sac. Sa mère l’embrasse. Médor, le chien, est son ami, il attend déjà à la porte, sous un arbre. Ils se disent au revoir et il part pour les cours du matin.
Il se met en route. Il faut marcher vite. Il ne veut pas être en retard. C’est un bon élève. Il aime bien ses maîtres et ses petits amis de classe. Ils s’aiment beaucoup. Il chante toujours en route, par exemple:
Frère Jacques,
Frère Jacques,
Dormez-vous?
Dormez-vous?
Sonnez les matines,
Sonnez les matines,
Ding Deng Dong, Ding Deng Dong.
Texte B La toilette de M. et Mme Dubreuil
M.Dubreuil travaille à Paris, mais il habite à Louveciennes. Il doit prendre d’abord le RER C jusqu’à la Gare d’Austerlitz et puis le métro Ligne 6. Il faut une bonne heure! M.Dubreuil se réveille à six heures, il se lève aussitôt. Puis, il entre dans la salle de bains. Il prend son bain et fait vite sa toilette. M.Dubreauil se lave, il prend une serviette de toilette, il s’essuie. Il se rase avec son rasoir électrique. Maintenant, il se brosse les dents. Un coup de peigne, c’est tout. Il s’habille vite dans sa chambre, il se met une cravate, il se regarde dans la glace, il est donc content de lui-même: « Pas mal, pas mal du tout! »
Il embrasse sa mère et sa femme. Il part vite pour la gare. Il prend un petit pain et un café dans le petit restaurant de la gare.
Mais, à ce moment-là, sa femme fait encore sa toilette. Pour elle, il faut une bonne heure dans la salle de bains. Du rouge sur les lèvres, un peu de poudre... M.Dubreuil et les enfants m’aiment pas sortir avec elle. Ils disent toujours: « Oh là là, il faut une journée pour faire ta toilette. Nous allons être en retard. » Mais ça ne sert à rien, elle continue sa toilette et dit: « Une femme, c’est une femme! »
Le matin, les enfants ont toujours envie de dormir. Ils se lèvent lentement, mais ils se lavent bien vite! Surtout, ils n’aiment pas se laver les mains. Ils prennent leur petit déjeuner dans la salle à manger. A huit heures juste, les enfants partent pour la classe du matin. Ils vont à l’école tous à vélo.